De plus en plus de personnes aujourd’hui boivent du vin. Seulement, combien d’entre elles sont conscientes du fait qu’elles consomment peut-être du mauvais vin ? Aussi, combien savent comment reconnaître un bon vin ? La réponse à toutes ces questions ici !
Le visuel
Si vous l’ignorez, tous les vins de qualité ont régulièrement une robe qui est à la fois intense et brillante. De plus, la couleur d’un vin indique également son âge. Quand on prend l’exemple du vin rouge, plus sa teinte tire vers le rouge orangé « brique », plus le millésime est ancien. En revanche, si le vin est clair et qu’il a une teinte qui tire vers une couleur violine, alors il s’agit d’un jeune vin. En ce qui concerne le vin blanc qui peut provenir des cotes du roussillon, plus il est vieux, plus sa couleur tend vers le jaune (or). Toutefois, faites attention à ne pas confondre les couleurs. La couleur d’un vin est aussi appelée à varier essentiellement en fonction des cépages utilisés.
Le nez
Le vin ne se déguste pas qu’à la bouche. Il se déguste également par le biais de son odeur. Ainsi, par les fragrances qu’il dégage, vous pouvez commencer par juger votre vin. Pour y arriver convenablement, utilisez :
- la technique dite du « premier nez » ;
- la technique du « deuxième nez » ;
- et très peu celle du « troisième nez ».
La technique du « premier nez » consiste à rapprocher le verre de vin de son nez et à inspirer un bon coup. Normalement, vous devrez commencer déjà par distinguer certains arômes. Si avec le « premier nez » vous n’y arrivez pas, allez-y avec le « deuxième nez » qui consiste à remuer le contenu de votre verre pendant un moment avant de le rapprocher de votre nez et de le renifler. Grâce à cette seconde tentative, vous ressentirez à coup sûr les différentes épices contenues dans le vin que vous allez boire. Si ce n’est pas le cas, essayez une dernière fois de remuer son le vin contenu dans le verre et d’en inspirer un bon coup.
L’équilibre
Après toutes ces vérifications, intervient l’étape où vous êtes censé boire votre vin. En effet, dans le processus de fabrication du vin, il y a l’étape de la fermentation au cours de laquelle les sucres contenus dans les raisins sont transformés en alcool. Bien que cette étape marque la reconversion du sucre en alcool, elle consiste également au maintien d’un équilibre entre sucre et alcool. Le produit fini qu’est le vin ne doit ni être trop alcooleux ni trop sucré d’où les pourcentages d’alcool réduits dans les vins qu’on rencontre sur le marché.
